La collection que Gustave Soury légua à l'état français qui ne l'expose guère contient de nombreuses images de lutteurs et évoque les différentes conditions de ce divertissement de foire, peu à peu devenu un sport.
Sur Gaston Soury, on lit à l'adresse: http://pietondeparis.canalblog.com/archives/p10-10.html
Peintre, illustrateur, photographe animalier, ayant débuté dans le dessin de bijoux, Gustave Soury se lie rapidement au monde des forains et du cirque. Tour à tour il est caissier chez le dompteur Mc Donald (le père de la dompteuse Jeannette Mc Donald), administrateur du cirque cocassien du professeur Maladolli et, animateur de visites pédagogiques au Zoo de Vincennes. Au cours de sa vie il composa de nombreuses affiches pour les différents chapiteaux des frères Amar, et travailla pour les imprimeries: Faria, Jaubert, Serre et Bedos. Les illustrations de Gustave Soury restent à ce jour des petits chefs d'oeuvres à regarder sans modération. A sa mort son importante documentation (affiches, photographies) sur le monde animalier a été donné au Musée national des Arts et Traditions populaires devenu depuis le MUCEM situé prochainement à Marseille.
Baraque foraine à Paris 13ème
Baraque de catch 1948
On s'en fait une meilleure idée d'après cette photo de Marcel Bovis
Depuis longtemps les arènes athlétiques emploient aussi des clowns, comme on le voit sur cette photo de la "troupe de Marseille"
A la fin du 19ème siècle, le costume des lutteurs emprunte aux acrobates de cirque
La distinction n'est pas très nette entre Homme fort (leveur de poids, autres activité foraine à laquelle certains lutteurs comme Le Boulanger ou Charles Rigoulot se sont aussi livrés) et lutteur.
Voici trois saisissants portraits d'Eugène de Paris dans les années 1910: on remarquera outre le collant et la tenue d'Hercule, le tatouage qui figure un lutteur forain:
Dans les cartes postales autochromes anciennes collant et fixe-chaussettes sont souvent des accessoires incontournables:
Pourtant l'activité existe déjà en tant que sport, on en trouve la trace dès 1901
Yves Le Boulanger à droite.
Le cachet postal de cette carte permet de la dater d'avant 1903
La lutte est aussi l'activité exotique des indigènes
Y compris des indigènes suisses ou bretons
Plus tard, le catch reprend l'aspect forain de l'activité, qui donne de nouveau lieu à des spectacles publics
La pratique sportive se différencie de nouveau du professionnalisme
Ci-dessus athlètes à l’entraînement à Reims.
Le poids-léger Henri Porro aux jeux de Londres en 1908.
Sur Gaston Soury, on lit à l'adresse: http://pietondeparis.canalblog.com/archives/p10-10.html
Peintre, illustrateur, photographe animalier, ayant débuté dans le dessin de bijoux, Gustave Soury se lie rapidement au monde des forains et du cirque. Tour à tour il est caissier chez le dompteur Mc Donald (le père de la dompteuse Jeannette Mc Donald), administrateur du cirque cocassien du professeur Maladolli et, animateur de visites pédagogiques au Zoo de Vincennes. Au cours de sa vie il composa de nombreuses affiches pour les différents chapiteaux des frères Amar, et travailla pour les imprimeries: Faria, Jaubert, Serre et Bedos. Les illustrations de Gustave Soury restent à ce jour des petits chefs d'oeuvres à regarder sans modération. A sa mort son importante documentation (affiches, photographies) sur le monde animalier a été donné au Musée national des Arts et Traditions populaires devenu depuis le MUCEM situé prochainement à Marseille.
Baraque foraine à Paris 13ème
Baraque de catch 1948
On s'en fait une meilleure idée d'après cette photo de Marcel Bovis
Depuis longtemps les arènes athlétiques emploient aussi des clowns, comme on le voit sur cette photo de la "troupe de Marseille"
A la fin du 19ème siècle, le costume des lutteurs emprunte aux acrobates de cirque
La distinction n'est pas très nette entre Homme fort (leveur de poids, autres activité foraine à laquelle certains lutteurs comme Le Boulanger ou Charles Rigoulot se sont aussi livrés) et lutteur.
Voici trois saisissants portraits d'Eugène de Paris dans les années 1910: on remarquera outre le collant et la tenue d'Hercule, le tatouage qui figure un lutteur forain:
Dans les cartes postales autochromes anciennes collant et fixe-chaussettes sont souvent des accessoires incontournables:
Pourtant l'activité existe déjà en tant que sport, on en trouve la trace dès 1901
Yves Le Boulanger à droite.
Le cachet postal de cette carte permet de la dater d'avant 1903
La lutte est aussi l'activité exotique des indigènes
Y compris des indigènes suisses ou bretons
Plus tard, le catch reprend l'aspect forain de l'activité, qui donne de nouveau lieu à des spectacles publics
La pratique sportive se différencie de nouveau du professionnalisme
Ci-dessus athlètes à l’entraînement à Reims.
Le poids-léger Henri Porro aux jeux de Londres en 1908.
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