mardi, novembre 28, 2017

vladimir velickovic (b1935)


 
«J’ai vu, et je continue à voir.»

 







"Ce sont les feux qu'engendrent les batailles. Ils marquent aussi la fin de l'action. Le paysage est déserté. C'est un espace significatif de ce qui s'est passé. En fait, je peins ce que l'homme fait à l'homme. C'est alors que viennent les oiseaux, les corbeaux ou les vautours."






  «Je ne peins pas des images d’Épinal. Mes grands formats ne rentrent pas facilement chez les collectionneurs. Je suis mon chemin, je ne peux faire autrement.» 



"Je ne suis pas croyant. Mais c'est la notion du mal, de la souffrance, de l'agressivité que nous portons en nous que je mets en lumière. L'histoire de l'art regorge d'iconographies de ce type... De nos jours, on ne crucifie pas le Christ mais l'Homme. C'est ce déplacement et ces actes de violence que je montre en images."





 



















 







 









2 commentaires:

Homodesiribus a dit…

De retour dans la blogosphère? C'est une bonne nouvelle. J'aime beaucoup cette série.

Fred. A a dit…

salut Snoopy, c'est gentil de me laisser un message. Comme tu as pu constater, ça va ça vient, je ne sais jamais combien de temps mes apparitions durent. En général, mes 5 blogs constituent un espace de secours qui me permettent d'identifier les origines d'un blocage dans mes autres activités. Il y a longtemps que je voulais rassembler des tableaux de Veliskovic, je ne trouvais rien à en dire car ils parlent d'eux-mêmes et précisément de l'obstacle que j'ai du mal à franchir. J'ai la tête qui éclate comme dit la servante automate de Plamondon.