Dès 1938, Peter Stackpole s'est intéressé aux lutteurs, à l'un d'eux en tout cas, Bob Gregory, arrivé pour faire carrière aux Etats-Unis à la fin des années 20. L'intérêt du public pour ce lutteur professionnel anglais était surtout dû à son mariage avec la Princesse Baba de Sarawak.
En 1938, Life ne publiera dans son numéro du 7 février que trois petites photos amusantes de Bon Gregory et sa femme. Pourtant Stackpole avait fait un reportage complet, suivant le lutteur en coulisses et sur le ring.
En voici quelques unes:
Lors des championnats inter-universitaires de mars 1951Stackpole photographie l'essentiel de la compétition: de nouveau il n'aura droit qu'à quelques photos dans le journal, dont deux de l'attraction principale de cette compétition, le lutteur aveugle Gene Manfrini, star de l'université de Columbia où il étudiait le piano. Après ses études il dcevint l'accordeur de piano d'Arthur Rubinstein, Irving Berlin et travailla pour RCA, Thelenious Monk, Dave Brubbeck.
Les photos de Stackpole qui avait un oeil pour la lutte, montrent aussi la fâcheuse tendance au port du casque et à des collants longs cachant les jambes (alors qu'en 1951, on aurait pu penser qu'on évoluait vers moins de pudibonderie), mode qui ne prendra heureusement pas dans la lutte amateur -au contraire du casque toujours relativement fréquent dans les compétition aux Etats-Unis, destiné à éviter les oreilles en choux-fleur qui sont pourtant les trophées des lutteurs et des rugbymen.
Contre Augie Curtis en décembre 1928
En voici quelques unes:
Lors des championnats inter-universitaires de mars 1951Stackpole photographie l'essentiel de la compétition: de nouveau il n'aura droit qu'à quelques photos dans le journal, dont deux de l'attraction principale de cette compétition, le lutteur aveugle Gene Manfrini, star de l'université de Columbia où il étudiait le piano. Après ses études il dcevint l'accordeur de piano d'Arthur Rubinstein, Irving Berlin et travailla pour RCA, Thelenious Monk, Dave Brubbeck.
Les photos de Stackpole qui avait un oeil pour la lutte, montrent aussi la fâcheuse tendance au port du casque et à des collants longs cachant les jambes (alors qu'en 1951, on aurait pu penser qu'on évoluait vers moins de pudibonderie), mode qui ne prendra heureusement pas dans la lutte amateur -au contraire du casque toujours relativement fréquent dans les compétition aux Etats-Unis, destiné à éviter les oreilles en choux-fleur qui sont pourtant les trophées des lutteurs et des rugbymen.
15 jours plus tard, le même mois de mars 1951, Stackpole rend compte d'un championnat professionnel. Les tenues sont plus sympathiques, l'inventivité des poses est moindre, comme celle du photographe assigné à une place au bord du ring qui l'empêche de tourner autour de l'action.
Dans un registre similaire, à l'occasion d'une reprise de Rigoletto en 1949, Stackpole offrait (pour compenser peut-être les photos de scène où il apparaissait avec un énorme bedon factice) quelques photos du ténor Mario Lanza, s'exerçant avec son coach personnel.
En 1937, Peter Stackpole avait déjà immortalisé la séance de boxe quotidienne de Darryl Zanuck (directeur de la MGM) avec son sparring partner Fidel La Barba:
Fidel la Barba 1925
